Puggy, Gush & The Probs au Festival Chorus

Comme chaque année le Festival Chorus a pris, entre autres, ses quartiers à La Défense, sous l’abri d’un Magic Mirror installé pour l’occasion.

Lundi dernier, c’était une soirée 100% masculine qui s’y déroulait avec The Probs, Gush et Puggy.

Et le mélange des trois s’est avéré extrêmement bien vu puisque chacun de ces groupes a la particularité de faire la part belle aux harmonies vocales, et que la plupart des membres des groupes chantent et s’échangent les instruments.

The Probs

Le moins que l’on puisse dire c’est que leur set était énergique : on a rarement vu le chanteur prendre sur ses épaules le guitariste en plein solo ! En quelques chansons, les Probs ont tout donné pour que le public découvre au mieux leurs chansons. Et comme ils nous feront chanter régulièrement, les refrains de celle-ci nous resteront un moment en tête, comme celui d’strong>Apples always fall.

On passe un moment agréable avec eux, mais l’on ne peut s’empêcher de penser que tout de même le chanteur en fait un peu trop, au détriment parfois des chansons : scander « tout le monde tout le monde » pour faire chanter le public casse un peu (beaucoup) l’émotion d’une chanson … et c’est dommage car on était parfois plus concentrés à le regarder sauter partout sur la musique du groupe.

» www.theprobs.com

Gush

Cela faisait un moment qu’ils n’avaient joué, préparation du nouvel album oblige. Un vrai plaisir donc que de les revoir sur scène, plus chevelus que jamais, avec toujours la même énergie.

Mais leur set nous laissera à moi et mes camarades une impression fort mitigée : le set a mis du temps à démarrer, avec des versions de Vondel parky et The Big wheel un peu poussives, avant de laisser place à de nouveaux titres aux sonorités plus electro avec parfois une façon de chanter très Bee Gees. On sent une évolution de leur musique, deux des nouveaux titres joués sont vraiment excellents, mais d’autres nous laisseront plus perplexes … Un je-ne-sais-quoi de pas tout à fait prêt/pas en place planait et au final on en est ressortis plutôt déçus.

Mais ce fut un bonheur d’écouter cette version de P-Nis plus groovy que jamais, de même que retrouver Let’s burn again.

Vivement donc qu’ils refassent des dates pour qu’on ne reste pas sur cette impression mitigée.

» www.facebook.com/wearegush

Puggy

LA claque de la soirée.

Leur nouvel album est sorti le jour-même et le groupe semble visiblement ravi de jouer ses nouveaux titres sur scène. L’ambiance est dingue, sur scène l’énergie du trio est décuplée par celle que lui renvoie le public et cela donne des moments complètement fous : la montée géniale de How I needed you, ce moment génial où seul le public chante sur When you know (cf vidéo ci-dessous) …

Mention spéciale également à Goddess Gladys où les harmonies vocales ressortaient particulièrement et à Last Day On Earth, l’actuel single, où le public a commencé à sérieusement faire trembler la fosse.

Littéralement captivant (le trio change régulièrement d’instruments, tous chantent), musicalement irréprochable (Matthew Irons est franchement impressionant), ce fut un excellent concert, d’autant plus qu’on voit rarement vu une telle communion avec le public, qui était particulièrement chaud/motivé/bienveillant !

» www.puggy.fr


» chorus.hauts-de-seine.net

Puggy, Gush & The Probs au Festival Chorus

Comme chaque année le Festival Chorus a pris, entre autres, ses quartiers à La Défense, sous l’abri d’un Magic Mirror installé pour l’occasion.

Lundi dernier, c’était une soirée 100% masculine qui s’y déroulait avec The Probs, Gush et Puggy.

Et le mélange des trois s’est avéré extrêmement bien vu puisque chacun de ces groupes a la particularité de faire la part belle aux harmonies vocales, et que la plupart des membres des groupes chantent et s’échangent les instruments.

The Probs

Le moins que l’on puisse dire c’est que leur set était énergique : on a rarement vu le chanteur prendre sur ses épaules le guitariste en plein solo ! En quelques chansons, les Probs ont tout donné pour que le public découvre au mieux leurs chansons. Et comme ils nous feront chanter régulièrement, les refrains de celle-ci nous resteront un moment en tête, comme celui d’strong>Apples always fall.

On passe un moment agréable avec eux, mais l’on ne peut s’empêcher de penser que tout de même le chanteur en fait un peu trop, au détriment parfois des chansons : scander « tout le monde tout le monde » pour faire chanter le public casse un peu (beaucoup) l’émotion d’une chanson … et c’est dommage car on était parfois plus concentrés à le regarder sauter partout sur la musique du groupe.

» www.theprobs.com

Gush

Cela faisait un moment qu’ils n’avaient joué, préparation du nouvel album oblige. Un vrai plaisir donc que de les revoir sur scène, plus chevelus que jamais, avec toujours la même énergie.

Mais leur set nous laissera à moi et mes camarades une impression fort mitigée : le set a mis du temps à démarrer, avec des versions de Vondel parky et The Big wheel un peu poussives, avant de laisser place à de nouveaux titres aux sonorités plus electro avec parfois une façon de chanter très Bee Gees. On sent une évolution de leur musique, deux des nouveaux titres joués sont vraiment excellents, mais d’autres nous laisseront plus perplexes … Un je-ne-sais-quoi de pas tout à fait prêt/pas en place planait et au final on en est ressortis plutôt déçus.

Mais ce fut un bonheur d’écouter cette version de P-Nis plus groovy que jamais, de même que retrouver Let’s burn again.

Vivement donc qu’ils refassent des dates pour qu’on ne reste pas sur cette impression mitigée.

» www.facebook.com/wearegush

Puggy

LA claque de la soirée.

Leur nouvel album est sorti le jour-même et le groupe semble visiblement ravi de jouer ses nouveaux titres sur scène. L’ambiance est dingue, sur scène l’énergie du trio est décuplée par celle que lui renvoie le public et cela donne des moments complètement fous : la montée géniale de How I needed you, ce moment génial où seul le public chante sur When you know (cf vidéo ci-dessous) …

Mention spéciale également à Goddess Gladys où les harmonies vocales ressortaient particulièrement et à Last Day On Earth, l’actuel single, où le public a commencé à sérieusement faire trembler la fosse.

Littéralement captivant (le trio change régulièrement d’instruments, tous chantent), musicalement irréprochable (Matthew Irons est franchement impressionant), ce fut un excellent concert, d’autant plus qu’on voit rarement vu une telle communion avec le public, qui était particulièrement chaud/motivé/bienveillant !

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