La Grande Sophie à l'Olympia

Amy MacDonald au Trianon

Difficile de tenir le rythme des concerts ET des live reports ensuite, donc celui-ci arrive une semaine plus tard. Mais comme c’était une belle soirée, je me devais de le faire 😉

» Article paru à l’origine sur (feu) Le-HibOO.com

« C’est la cinquième fois qu’on se retrouve à l’Olympia et vous êtes toujours aussi nombreux! » s’exclame radieuse La Grande Sophie en début de concert. Et en effet, le concert est complet, le public fin connaisseur et attentif; des conditions idéales pour que la soirée soit réussie et elle le fût effectivement grandement.

Pour ceux ayant déjà vu un concert de cette tournée, il y aura moins la surprise des réarrangements ou de la setlist mais l’on notera quelques subtils changements, comme par exemple On savait qui est apparue sous un jour plus electro-percussif.

Si on sentait déjà le public fébrile sur plusieurs chansons, c’est Ne m’oublie pas qui fera se lever tout le monde d’un même élan, et trembler le sol : une véritable ovation que La Grande Sophie fera durer en faisant chanter au public le refrain en acoustique …. et c’est drôlement beau un Olympia qui chante d’une seule voix enjouée.

Un amusement général qui perdurera avec Bye Bye, puis Dans ton royaume où les gens ne se firent pas prier pour chanter, et la toujours excellente reprise des Pretenders, Don’t get me wrong.

Ceux ayant la chance d’être placés bien face à la scène profiteront des jeux de projections et lumières, donnant souvent un aspect rétro à la scène; avec de jolies idées comme sur Sucrer les fraises où cela donnait l’impression d’une scène tournante.

Le concert ayant lieu la veille du jour des 15 ans de la disparition de Barbara, ce fût l’occasion pour La Grande Sophie de jouer en rappel, seule à la guitare, Dis quand reviendras-tu, qu’elle reprenait sur son album Des vagues et des ruisseaux. Autres surprises du rappel: une version complètement a capella de Martin, où une nouvelle fois la salle a chaudement participé; et puis Petite princesse, dans cette si jolie version douce, interprétéeau milieu de la fosse.

Nous avons beaucoup chanté à ce concert, et c’est un détail qui mérite d’être relevé car ce n’est pas si souvent qu’une salle participe tout du long vocalement 😉

Un dernier moment d’émotion avec la touchante Peut-être jamais et nous avons retrouvé le froid de cette fin novembre …

» www.lagrandesophie.com.fr

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